Nom : LeGardien
Prénom : À ma naissance, on me nomma Draël. Dans la langue des humains cela veut dire : Celui-qui-garde-les-portes
Age : En arrondissant mon âge, je pourrais vous dire environ 1800 ans, mais j’ignore précisément le nombre d’année que j’ai vécu. Si je me compare à l’âge d’un humain, je devrais avoir environ 25 ans.
Classe : chevalier
Rang : Gardiens des portes du Paradis
Alignement : Je sers le bien. Je protège le bien et je combats le mal.
Race : Ange
Sexe : masculin
Sexualité : Hétérosexuel
Caractère : Comme chaque individu, comme chacun de nous, j’ai développé ma propre personnalité. Je la sépare en trois domaines. J’utilise une personnalité différente lors de combat, lors de mon travail et hors de mon travail, mais il est rare que je le quitte.
Premièrement, lorsque l’ennemi arrive aux portes, je me doits de les défendre et je dois engendrer un combat. Je deviens alors très rusé et patient. Je ne suis pas très endurant donc, la ruse me permet de vaincre un ennemi sans trop me fatigué. Je ne parle plus, je n’entends plus. Je réfléchis. Je réfléchis à un plan, à une stratégie ou à une tactique pour désarmer mon adversaire. Pourquoi je ne le tues pas? C’est que je suis loyale. Parfois trop loyale, mais lorsque la colère me hante, je peux tuer de sang froid, mais rare vient cette colère.
Lors de mon travail, je suis très sociable. Je discute souvent avec mon partenaire ou avec les nouveaux arrivants. Je leurs demande comment ils sont morts, s’ils avaient de la famille et je l’ai rassure sur ce nouveau monde auquel ils devront s’habituer. J’adore mon travail c’est pourquoi je suis souvent enjoué. Pour détendre l’atmosphère, je raconte souvent des blagues. J’aime m’amuser.
Hors de mon travail, je reste sociable avec les autres de mon espèce. Mais, je deviens un peu plus sérieux pour ne pas m’attirer les foudres de la grande reine céleste en qui je dois tout mon allégeance. Je reste poli et respectueux et beaucoup plus calme.
Physique : J’ai de doux cheveux bruns que j’entretiens bien. Long jusqu’aux épaules, mes cheveux sont lisses et raides. Une petite couronne de lauriers en or fait le tour de ma tête. J’ai les yeux d’un bleu clair, même que certain disent qu’ils sont de la même couleur que le ciel. Partiellement recourbés à leur extrémité, ils me donnent un petit côté charmant, agressif et rebelle à la fois. Mon petit nez légèrement recourbé me donne un air enfantin ce qui reflète totalement ma personnalité. Mes fines lèvres semblent n’avoir jamais embrassé, mais est-ce vrai? Les traits fins de mon visage me donnent un grand charme. Un charme mystérieux. Ma peau douce me donne un air de jeunesse.
Je ne suis pas très grand, je ne suis pas trop petit. Je ne suis pas bâti comme un guerrier, mais je ne suis pas maigre non plus. Mes ailes ne sont pas très longues ni très courtes. Ma peau n’est pas bronzée, mais elle n’est pas pâle. Je semble être le juste milieu. Je me revêtis tout les jours d’une tunique blanche qui descend jusqu’à mes genoux et qui est attaché avec un rubis sur mon épaule droite. J’ai un bracelet brun dans chaque poignet et un à chaque mollet. Une ceinture brune entoure ma taille pour venir s’attacher par une boucle. Finalement, j’ai deux halos de lumière qui font le tour de mon bracelet du poignet droite.
Histoire [violent]: Je suis né d’un ange et d’un autre ange. Normal vous allez dire. Oui peut-être, mais je suis née d’un père pas comme les autres. En effet, il voulait une fille, il m’a eu moi. Je ne suis pas une fille. Il a voulu m’assassiner à l’âge de 5 ans. Pas 5 années humaines, mais 5 années au paradis. Je ne savais pas marché et je n’avais pas un cheveu sur la tête. Mon père arriva avec une épée à la lame d’argent. De sa grosse main, il me prit. De sa grosse main, il m’étouffa. De sa grosse main, il me retourna. Face à mon dos, il mit le bout de la lame d’argent sur ma petite peau à peine créée. Puis, il mit de la force. La lame transperça ma peau et le sang commença à couler sur le plancher blanc de marbres. Je me mit à pleurer et à crier de ma petite voix aigu. Heureusement, ma mère m’entendit. Elle savait ce qui se passait, car mon père lui avait dit se qu’il voulait faire et c’est pourquoi elle voulait divorcer avec et m’amener loin de lui, même, peut-être le dénoncer.
Bref, elle fit apparaître une dague. Elle courra jusque dans ma chambre et planta sa dague dans le dos de mon père. Le plancher blanc était maintenant rouge. Mon père me lâcha sur le plancher, dans la marre de sang. Il se tourna vers ma mère et la dague resta dans son dos. À son tour, il enfonça l’épée à la lame d’argent dans son abdomen. À bout de sang, mes parents s’effondrèrent sur le sol en même temps. Mort! J’étais maintenant seul dans cette petite pièce à me noyer dans le sang et à m’étouffer avec des coyaux. Finalement, un homme qui passait dans le coin entendit le vacarme et vint me chercher. Il était un des amis de mon père. Je vécu avec lui le reste de ma vie. Comme il était soldat dans l’armée des anges, il m’entraina à me battre. Malheureusement, il perdit la vie lors d’une guerre contre les démons. Lorsque j’allai voir sur le champ de bataille, je trouvai sa double épée bleu sertit d’or et je jurai de le venger. Arrivé chez lui, qui était maintenant chez moi, je plaçai l’épée dans une armoire. Sur la table placée à sa droite je découvris une petite lettre s’adressant à moi.
Chère Draël,
Te voilà rendu presqu’un homme d’âge mûre. Si tu lis cette lettre, c’est que je suis mort. Je tiens à te dire que j’ai découvert les origines de ton nom. Le nom que tu porte présentement signifie : celui-qui-garde-les-portes. Malheureusement, je n’ai pas découvert quel était ton nom de famille. Mais, comme la liste des futurs gardiens est écrite et disponible, j’ai été la consulté. Je t’apprends que ta destiné est écrite. Si ta mère t’a appelé ainsi, c’est qu’elle savait que tu serais l’un des deux gardiens des portes du paradis. Mais pour cela, tu devras trouver mon arc bleu qui m’appartient.
Lorsque je lus cette ligne je fus surpris. Toute ma vie, je crus que ce fut une épée à deux lames. Je continuai à lire.
Je sais que pour toi, elle paraitra comme une épée à deux lames, mais il y a une corde céleste qui apparaît relié à chaque extrémité. Pour l’activée tu dois t’imaginer l’arme comme un arc à flèche et la corde apparaitra. Pour la flèche, ait la volonté et elle apparaitra. La première fois ça ne marchera pas car l’arme ne te reconnais pas, tu dois trouver le petit mémo, sous mon lit et le lire en tenant l’arme avec tes deux mains. Maintenant va poursuivre ton destin.
Je pliai la lettre et la plaçai dans un tiroir. J’allai voir sous le lit et je trouvai le mémo. J’empoignai l’arme de mes deux mains et je lis le mémo tout fort.
" Toi! Oui toi! Toi qui me serviras… toi qui me guidera… et toi qui me défendra. Je suis ton maître. Moi! Moi Draël. "
En disant ces mots, l’épée illumina d’un bleu ciel. Puis, un rayon frappa mon bras droit. Deux halos apparurent autour de mon bracelet.
J’allai voir le général des armées qui m’accorda le droit de garder les portes du paradis. Devant une grande foule, il y eu une cérémonie. Un genou en terre devant le général je prononçai fièrement ces mots :
" Je jure de laisser entrer que ceux qui ont la permission. Je jure de combattre les démons et les intrus. Je jure de servie le paradis ainsi que la reine céleste au péril de ma vie. Ainsi, je suis un défenseur des cieux, je suis un protecteur du paradis et je suis un guide pour les nouveaux venus. "
Je me relevai, je me tournai vers la foule et je levai le bras. Tous m’acclamaient. Maintenant, on m’appela Draël LeGardien et depuis ma venu devant les portes en or, il n’y eu aucune infraction et aucune bataille.
Pouvoirs : Je peux transformer mon épée double en arc et je peux faire apparaître des flèches de lumières.
Armes : Une épée double que je peux séparer pour en faire deux épée ou encore, je peux ajouter une corde céleste qui s’attache à chaque extrémité pour en faire un arc à flèche.
Elle est d’un bleu qui devient, selon le rayon du soleil, bleu foncé ou bleu pale. Elle est ornée d’un petit filament en or qui fait le tour des lames. Le manche est fait d’un tissu brun assez confortable.