le retour d'un ennemi: mon père

La nuit avait été longue et froide. Je me sentais un peu…déprimé. Depuis que j’eu ce nouveau poste, je ne vit aucun autre gardien et normalement nous sommes deux. Le soleil commençait à se lever. Peu à peu, les rayons chauds frappaient sur le paradis lui redonnant toute sa beauté. Je pouvais contempler ce phénomène. Assis sur le bord de la porte, je scrutai l’horizon. Le gazon était vert, les roches brillaient, l’eau scintillait et les animaux jouaient. Tout était normal…ou presque.

Depuis quelques temps, plus personne na venait au paradis. La dernière personne qui avait passé par la porte que je gardais était il y a environ six levé du soleil. Je ne comprenais pas pourquoi. Pourtant, il y avait eu des morts. C’est alors qu’une idée me frappa ou peut-être une raison.

* Peut-être vont-ils tous en enfer*

Cette idée m’emplit d’horreur, mais je me ressaisis.

*Après tout, ici c’est beaucoup plus beau qu’en enfer*

Je laissai cette idée de côté et j’allai me purifier. Je ne pouvais pas entrer dans la cité, car je laisserais les portes sans garde. Alors, j’allai dans un petit lac à quelques mètres des portes.

Je laissai ma tunique, mon arc et mes bracelets près du lac et je sautai dedans. L’eau était encore froide, car les rayons du soleil n’avaient pas eu le temps de la réchauffer. Je préférais lorsqu’elle était froide.

C’est alors que je remarquai une ombre qui venait vers moi. Peu à peu, je reconnus les traits de celui qui venait vers moi : mon père! Je pris mon arc et je fis apparaître une flèche céleste.

" Reste là monstre! Dis-je avec de la peur. "

" Haha! Tu m’as envoyé en enfer… je vais me venger. "

Il sortit l’épée à la lame d’argent. Je sortis tout de suite de l’eau, mais je pus m’habiller que la lame fonçait sur moi. Surpris, je laissai partir la flèche qui fonça sur lui. Il l’a ressue en pleine poitrine et la lame m’entailla l’épaule.

Je tombai par terre. Peu à peu, mon bras se contaminait.

" J’ai mit du poison sur la lame. C’est bien que tu l’ailles remarquer, dit-il avec un grand sourire sadique. "

Incapable de bouger, je priai le dieu suprême pour recevoir de l’aide…

Farël avait choisi cette nuit pour aller se promener puisqu’elle était fraîche. C’était tout se dont il avait besoin de fraîcheur. Pendant le jour, il travaillait comme un défoncé puisque la menace encore de plus en plus présente devenait trop pressante pour ne rien faire. Pendant ces journées il se donnait corps et âme pour entraîner et essayer d’améliorer ses tactiques. C’est pour sa qu’il préférait les nuits fraîche plutôt que les nuits chaude et suffocante. Il se promenait maintenant depuis près plus d’une heure. Il était sur le chemin deux retour lorsqu’il entendit la vois d’un homme dire :

" Haha! Tu m’as envoyé en enfer… je vais me venger. "

Le mot enfer et le mot venger raisonnèrent dans sa tête pendant quelques secondes. Le commandant des armée essayait de comprendre se qui pouvait se passer. Il déploya ses magnifiques ailes plus grandes que les autres et fila à toute allure vers l’endroit où il avait cru entendre les mots. Il arriva enfin et vit un jeune homme qui semblait souffrir. Un autre homme était un peu en avant et semblait le menacer. Il vola à toute allure encore une fois vers les deux personnages et lorsqu’il fut assez près, il créa une demi-sphère de lumière qui pourrait protéger l’ange face à l’individu qui ne semblait posséder peu de pouvoirs. L’ange était maintenant protéger et le combat pouvait commencer. Il fit apparaître son épée. Farël laissa son ennemi commencer à attaquer, il voulait évaluer les défauts de son ennemi pour commencer. Seulement après quelques secondes, on pouvait voire que son ennemi n’était pas un expert dans la matière de la guerre. Farël commença à attaquer en criant pour intimider l’ange déchus :

" SANS FINIT DE TOI SALAUD !! "

Sur ce Farël commença à attaquer son adversaire. Il le frappa faiblement, mais avec une rapidité déconcertante. Il ne laissa pas le temps à son adversaire de tenter un coup d’estoc. Il obligeait son adversaire à rester en défensive. Le combat aurait pu être finit depuis un moment déjà, mais Le commandant de l’armée céleste voulait s’amuser un peu avant d’en finir. Il laissa une chance à son adversaire de tenter une attaque. Ce qu’il fit, mais sans résultat convaincant. Après un temps qui devait paraître long pour l’ange déchus, Farël commençait à se lasser de cette adversaire médiocre. De toutes ses forces il frappa la lame de son adversaire qui lâcha prise immédiatement. On pouvait voire l’homme en train de se masser le poignet pour faire partir la douleur. Farël s’empara de son assaillant pour qu’il ne bouge plus. Il enleva le bouclier de lumière de l’autre ange et lui dit :

" Je te laisse le choix. Tu le tue ou je le laisse partir ? "

Farël ne voulait que la mort de cet homme insignifiant. Il se dit qu’il respecterait tout de même le choix que l’ange choisirait.

La lame de mon père flottait dans l’air prêt à me trancher la gorge. J’essayais de me montrer brave, mais à l’intérieur de moi, tout était au ralentit. Comme si j’eu le temps de penser à milles affaires avant que la lame s’abatte sur moi. J’eu le temps de me remémorer de beau moments… et des mauvais. L’air du printemps, ma récompense pour devenir un gardien des portes. Je commençais à manquer d’air dans mes poumons. Je paniquais. Mon visage était tout crispé et des gouttes de sueurs partaient de mon front pour glisser le long de mes traits du visage et pour finalement atterrir sur le sol. Mes cheveux étaient collés sur ma tête et mes yeux voyaient que de la terreur.

Mon bras me faisait de plus en plus souffrir. Je sentais le poison dans mes veines. Comme s’il cherchait à atteindre mon cœur. Bientôt, je serai mort par le poison ou par la lame. C’est alors qu’une bulle de lumière m’enveloppa et me sépara en même temps de mon assaillant. Un autre homme que mon père se dressait un peu plus loin dans le champ. Ses ailes étaient si immenses que je pus le reconnaître. Il n’y avait qu’une seule personne avec de telles ailes et c’était le commandant des armées. Les deux hommes engagèrent un combat pendant que moi je luttais contre ce fichu poison qui finirait surement par me tuer.

* ça ne peut pas finir ainsi. Tant de belles années vécus. Je suis beaucoup trop jeune!*

Maintenant, la frustration s’emparait de moi. De la force qui me restait, je fis apparaître une flèche et je la plantai dans ma cuisse. Le sang qui coulait était de couleur vert avec un peu de rouge incrusté. Puis, lorsque je pris mon épée, ma blessure ce cicatrisa et je ne sentis plus aucune douleur. J’entendis une voix faible, mais réconfortante :

« Je veille toujours sur toi Draël. Où que tu sois, je serai là. Je t’offre cette guérison, mais utilise-la pour le bien… »

Un long écho suivit la voix de l’homme. Puis plus rien. Je regardai Farël massacrer mon père. Puis la bulle se dissipa et l’ange aux longues ailes me questionna. La voix de l’homme résonnait toujours dans ma tête. Je brandis mon arc et je tendis la corde. Une flèche de lumière y apparu et lorsque je lâchai, la flèche fila.

Dans un sifflement strident elle déchira le silence de la nuit. La lumière qu’elle produisait illuminait toute la plaine. Enfin, enfin elle atteignit sa cible. Dans une plainte sourde mon père tomba à genoux avec la flèche en pleine tête. Le sang dégoulinait sur lui. Avant de quitter se monde, il me regarda d’un regard intense. Un regard qui en disait long. Seul moi pouvais comprendre se regard, car il venait de l’homme qui voulait enlever ma vie et tout ça à cause que j’étais un homme. Quel malade!

Je me tournai vers l’homme qui était venu à mon secours. Il n’avait pas l’air fatigué par ce combat et il ne semblait pas blessé. Je m’approchai de lui pour distinguer son visage dans la noirceur. D’un ton ferme et confiant je pris la parole.

« Tu es venu au bon moment et je ne sais quoi faire en dine de remerciement. Cet homme était père. À ma naissance il a voulut m’assassiner, car je n’étais pas une fille. Heureusement tu m’as sauvé.»

Je repris mon souffle, car la guérison m’avait beaucoup exténué. Puis, il continua.

« Je me nomme Draël. Je n’ais jamais connu mon nom de famille, donc on m’attribua le nom LeGardien, car je suis l’un des gardes de la porte du paradis. Malheureusement, je n’ai toujours pas de coéquipier. »

Je connaissais bien Farël, mais lui non. Sa réputation le suivait partout où il passait.

« Je sais qui tu es, Farël. Et c’est pourquoi que le jour ou tu auras besoin de moi, je serai la pour toi comme toi tu fus la pour moi. »

Je fis disparaître mon épée bleue, mais ce dernier petit geste me fit perdre connaissance. Je me réveillai le lendemain matin dans un lit confortable qui était en fait le mien.

Quand l’ange devant lui sortit son arc pour décocher une flèche de lumière, Farël était en quelque sort heureux. Heureux parce que un ennemi de moins reste un ennemi de moins, malgré qui celui-ci n’était pas un guerrier qui aurait fait la différence dans un combat. La flèche toucha enfin sa cible. Le corps prit d’un violent spasme et ensuite plus rien. Farël prit le corps avec lui et alla le déposer dans un coin sombre. Il se dit que le corps pouvait attendre ce qui était important pour le moment était de savoir si l’autre était blessé.

Farël écouta les remerciements attentivement. Pendant ces remerciements, Farël apprit que l’écloper se nommait Draël et qu’il était le gardien des portes du paradis. Farël était flatté quand Draël lui dit qu’il connaissait son nom et sa réputation. Il ne put pas prendre le temps de savourer ce moment, le petit s’écroula dans un profond sommeil réparateur. Il prit Draël LeGardien sur ses épaules larges et puissantes pour l’amener dans un lit confortable. Mais avant de partir, il fit apparaître des épées de lumière et leur commanda de ne laisser personne entrer.

Ils entrèrent tranquillement dans la citée. Farël alla voire le responsable des portes. Il le trouva finalement. Farël voulait avoir des explications sur ce qui c’était passer. Après tout, un seul garde devant la porte du paradis se n’est pas normale. Alors, Farël dit au responsable des portes avec ça voie douce et dure en même temps :

*Je veux des explications… par votre faute nous aurions pu perdre ce jeune homme aujourd’hui. Pourquoi il était seul à son tour de garde devant la porte hein ?!*

Le responsable des portes avait peur de la suite. Il tenait à son métier. Il se dit qu’a l’avenir, il serait plus vigilant. Il réussi tout de même à répondre dans un bégayement :

* Heummmm…. C’est à d….dire que je…je..Je ne savais pas qu’il était seul à la porte.*
Il allait poursuivre, mais Farël le coupa. Il lui demanda :

* Au lieu d’essayer de couvrir votre paresse, dite moi donc où habite ce jeune homme qui est sur mon épaule et qui aurait pu mourir aujourd’hui.*

L’homme lui indiqua le chemin à suivre et retourna à ses occupation, mais avec plus d’entrain cette fois-ci.

Farël se mit en route pour la maison de Draël LeGardien. Il aurait pu faire le trajet en volant, mais puisque sa marche avait été annulée par le combat, Farël se dit qu’il allait faire le reste à pied. En marchant, Farël voyait des endroits où in n’était pas venu depuis belle lurette. Il passa devant son école d’enfance. Il aurait bien aimé l;a voire animé, mais il faisait maintenant nuit et l’école était terminé depuis un long moment déjà. Il s’arrêta pour demander son chemin. En regardant son école et en se rappelant des beaux souvenirs, Farël s’était perdu. Un homme lui répondit :

* continuer tout droit jusqu'à la maison là-bas et tourner à droite. L’à vous devriez être dans le bon cartier. *

Farël continua son chemin. La nuit commençait à être un peut trop fraîche. Farël accéléra le pas. Il commençait à être fatiguer et une autres journée éprouvante l’attendait demain. Il arriva enfin devant la maison de Draël, enfin il le croyait. Il cogna, et après quelques minutes, personne qui avait répondu. Farël en déduisit qu, il était au bon endroit. Il regarda dans les poches de Draël pour voire s’il avait les clefs de chez lui. Il les trouva. Il reprit Draël sur ces épaules et entra. La demeure de Draël était simple mais très belle. Farël aimait cette maison et il ne put s’empêcher de dire :

* Mmmmm… J’aimerais bien habiter ici.*

Farël fouilla toutes les chambres et toutes les pièces afin de trouver le lit de Draël. À en juger par la décoration, Farël déduisit que la chambre qu’il venait de trouver pouvait bien être celle de Draël. Il le déposa tranquillement dans le lit afin de ne pas le réveiller. Il l’installa bien confortablement et ensuite, Farël chercha une chaise confortable pour rester au côté du gardien des portes. Il trouva une chaise plutôt confortable dans la cuisine. Il la ramena dans la chambre de Draël et s’installa confortablement dans sa chaise. Farël savait que de dormir dans une chaise ne serait pas le sommeil le plus réparateur au monde, mais il tenait à rester au côté de son compagnon pour s’assurer qu’il ne lui arrive rien pendant la nuit. Farël s’endormit finalement dans un sommeille paisible et peu mouvementé.

« Sais-tu qui est devant toi? »

«Non !»

« Hé! Bien Draël, je suis ton père. Ton fabuleux père que tu as tant aimé lors de ta petite vie de minable. Un père qui était la pour toi. Un père qui c’est toujours démené pour un fils qui ne l’aimait pas, qui le repoussait. »


« Tu n’es pas mon père. J’ai tué mon père il est mort devant mes yeux.»

« Pourtant tu ne sais pas où vont les morts de l’enfer. Je suis peut-être toujours en vie. »

L’homme se trouvant devant Moi avait le visage tout brulé. Sa peau tombait en lambeau et lorsqu’il parlait, il crachait du sang. Aucun vêtement recouvrant son corps, Je pus remarquer de nombreuses cicatrices. Une culotte brune déchirée se trouvait sous sa ceinture et je pouvais distinguer des plaques de sang rouges sur ses tibias et ses cuisses.

« Tu as été chanceux tout à l’heure, car ce misérable ange est venu de sauvé, mais cette fois tu es seul. Seul et a ma merci! »

L’homme lâcha un rire démoniaque qui n’avait rien de normal, mais, il ne put le finir, car il s’étouffait. Lorsqu’il essaya de cracher, une tonne de sang lui sortit de la bouche. Ce spectacle m’emplit d’horreur.

« Je suis un cœur éternel, personne ne peut me vaincre »

Mon père ressortit l’épée à la lame d’argent et cette fois, il ne me manqua pas. Je fermai les yeux pour voir venir la fin du trajet.

*Mais où vont ceux qui meurt au paradis*



Mon sommeil semblait agité. Étant dans un rêve des plus horribles, je me réveillai. Les rayons du soleil emplissaient cette chambre et reflétaient sur mon corps remplit de sueur. Je m’étais réveillé juste avant que la lame ne me touche. C’est alors que je remarqué Farël qui s’était couché près de moi dans une chaise. Je le pris sans trop le brusqué et je l’étendis dans le lit. Je fis apparaître mon arc et je sortis dehors.

Une grande cible en bois était installée dans la cour arrière de ma demeure. Je brandis mon arc à l’horizontal et je plaçai une flèche. La colère s’installait en moi peu à peu.

*Je suis si faible comparé à eux. Je veux devenir plus fort. Elemiah conte sur moi pour garder les portes, mais je ne suis même pas assez puissant pour stopper mon père. Et pourtant, Farël la vaincu haut la main. Pour devenir plus fort, je dois m’entraîner…*

Sans m’en apercevoir, car j’étais aveuglé par la colère, je laissai partir ma flèche. Elle fila à une vitesse si rapide, que l’on ne pouvait voir qu’une simple lignée de lumière. Puis, elle toucha la cible suivit d’une puissante explosion qui secoua tout le cartier. Des lambeaux de bois furent projetés et je dus me coucher sur le sol pour ne pas être atteint. Des centaines de morceaux de bois volaient dans tous les sens. Quelques un touchèrent ma maison, mais rien de grave et d’autres allèrent chez les voisins des alentours, sans toutefois causé de damages. Je m’envolai pour rechercher de nouvelles cibles pour m’entraîner. Non loin de chez moi, je trouvai un champ avec plusieurs arbres éloignés l’un de l’autre. Je fis apparaître une flèche et, toujours dans les airs, je tendis la corde pour finalement lâcher prise. La flèche entailla l’arbre, mais elle n’explosa pas. Quelques secondes s’écoulèrent et une puissante lueur blanche s’échappa de la flèche et l’arbre partit en éclats.

* Excellent*

Je me posai sur le sol, avec mon épée double empoignée à deux mains, je commençai. J’attaquai un premier arbre avec mes lames, puis un deuxième. Ensuite, je tirai une flèche explosive sur un troisième. Je volai vers un autre, je tirai mon épée-arc qui trancha le tronc et qui revint à ma main en faisant un arc de cercle. Un cinquième arbre me barrait la route, alors je mis mes ailes devant moi pour protéger ma tête et je planai jusqu’à celui-ci à une vitesse phénoménal. Sans me blesser, je transperçai l’arbre avec mon corps. Puis, je tirai trois flèches qui firent exploser chacune un arbre.

Ainsi, il ne restait plus aucun arbre pour ma pratique. Derrière moi se trouvait des milliers de lambeaux d’écorces, de feuilles ou des arbres coupés jonchés sur le sol. Mon corps n’en pouvait plus. Toute cette énergie dépensée me faisait trembler. Mes cheveux tout mouillé me collait sur la tête tout comme ma tunique qui n’était plus vraiment blanche. Les halos qui entouraient mon poignet brillaient faiblement pour m’indiquer qu’il ne me restait vraiment plus beaucoup d’énergie. S’ils s’éteindraient, cela voudrait dire que je serais mort.

Lentement, je retournai chez moi. Chaque battement d’ailes faisait souffrir tout mon être. Je ne volais pas droit. Je montais, je redescendais et je faisais des vrilles. Bref le manque d’énergie m’avérait couteux. Le trajet pour me rendre au parc me prit dix minutes pas plus, je revins chez moi en plus d’une heure. Une fois arrivé, je constatai que Farël dormait encore. Alors, je pris le temps de laver ma tunique et de polir mes bottes. Je sautai dans une bassine pour me laver moi. La sensation de propreté me fit énormément de bien. Finalement, j’aillai pêcher et je ramenai un beau gros poisson que je fis cuire sur un feu. Finalement, j’allai réveiller le fabuleux commandant des armées célestes.

- Debout il est tard. Il y a un gros poisson qui nous attends.

Farël était dans un sommeille profond. Il n’avait pas dormit comme cela depuis... plusieurs semaines pour ne pas dire des mois ! Son Sommeille avait été remplit de rêves magnifiques Jusqu’au moment où il entendit une voie familière lui dire :

- Debout il est tard. Il y a un gros poisson qui nous attend.
Sur ce, Farël se lava rapidement comme il était habituer de le faire dans son lit au quartier général. Il n’avait même pas remarqué qu’il était rendu dans le lit de Draël. Il prit quelques minutes pour bien être réveiller. Après ces quelques minutes plus tard, Farël invita son ami à déjeuner. Ils allèrent dans la cuisine et se firent à manger. Le déjeuner était succulent. Pour une fois, Farël avait eu le temps de bien manger et de se faire un déjeuner varié. Il en était ravi. Après le déjeuner, Farël dit au jeune ange du nom de Draël :

- Bon comme tu tes fait mettre une raclé hier, Je me propose pour te donner des cours après le travaille ou pendant mon temps libre. C’est seulement une proposition… Si tu veux rester faible toute ta vie et ne remporter aucune bataille… C’est ton choix… Et de plus un gardien des portes qui n’est pas capable de retenir son premier assaillant… Ce n’est pas terrible.

Ensuite, Farël prit ces affaires dans la chambre de Draël et dit à celui-ci :

- Bon Je veux bien t’enseigner si tu veux. Prend congé et dit que c’est moi qui t’invite à me voire. Si l’imbécile qui te sert de chef n’accepte pas, dit lui qu’il est renvoyer et vient me voire. Je vais m’occuper de te faire remplacer. Alors file vers les portes, pendant ce temps, moi je vais Préparer la place ou je vais t’entrainer. Mais je veux que tu sache tout de suite que ce ne sera pas de tout repos. Alors économise tes énergies. Je ne te laisse pas le choix en passant. C’est une obligation que je te donne de venir t’entraîner. Alors maintenant part.

Sur ces mots, Farël tourna le dos au jeune ange et ne lui laissa pas le temps de lui dire quoi que ce soit. Il se dirigea vers la porte et la claqua derrière lui. Il marcha tranquillement dans les rues en direction du Q.G. des anges.

Il savourait ces moments de solitudes où il n’avait pas à diriger et à se creuser les méninges pour faire la conception de plan défensif. Après quelques minutes de marche, il c’était remémorer de bons souvenirs, mais cette marche tranquille était déjà finit et il devait maintenant recommencer, mais au moins, aujourd’hui serait un jour un peu différent avec l’entraînement de Draël. À l’intérieur, plusieurs personnes lui demandèrent où il avait passé la nuit. Farël leur répétait toujours la même chose et bientôt, il commença à énervé de toujours dire les même choses. C’est suite à cela qu’il s’enferma dans son bureau pour attendre son disciple d’un jour.

Il passa un temps indéterminé dans son bureau jusqu’au moment où Draël arriva. Il avait passé ce temps pour établir l’entraînement que subirait Draël. C’est à ce moment que celui-ci cogna à sa porte. Farël était ravi. Il allait pouvoir mettre à exécution son nouvel entraînement qu’il avait entièrement créé. Alors, avec cette idée en tête, Farël dit à Draël :

- J’espère que ton chef ne ta pas causer trop de problèmes… Bon et maintenant si tu veux bien me suivre, c’est par ici que commence ton pire cauchemar.

Sur ces mots, Farël avait un petit sourire en coin. Il poursuivit :

- à la fin de la journée tu seras exténué si tu ne l’est pas avant. Mais dit toi que si tu es fatigué, c’est parfait puisque cela veut dire que tu as donné ton cent pour cent.
Sur ce, Farël invita Draël à le suivre.

Farël utilisa les raccourcis qu’il connaissait pour ce rendre à la salle d’entraînement qui était à l’extérieur. Il ne voulait pas gaspiller son temps à marcher dans les couloirs comme une servante. Ils arrivèrent à l’extérieur et plusieurs objets comme des cibles qui avaient été disposé à la demande de Farël.

Il commença donc avec des épreuves simples pour se réchauffer. Il s’agissait seulement de faire dix touts du terrain dont il disposait. Farël fit les dix tours avec Draël pour l’encourager. Ensuite, lui fit faire des étirements simples. Pendant ces étirements, Farël dit :

- Étire bien tes ailes puisque tu en auras grand besoin aujourd’hui. Je vais t’apprendre comment utiliser le potentiel de tes ailes au maximum.

Maintenant que tout était bien étirer, l’entraînement pouvait commencer. Il demanda à Draël de lui montrer son arc. Se qu’il fit. Il l’observa et lui dit :

- Je suis désoler, mais aujourd’hui tu ne l’utiliseras pas. Tu va utiliser celle-ci.

Farël désigna un arc en bois qu’une servante apportait à l’instant. Il put déceler la déception qui régnait sur le visage de Draël. Pour ne pas qu’il se pose de question longtemps, Farël lui dit :

- Je sais que sa te parait étrange, mais de pratiquer avec un arc de bois médiocre est le meilleur entraînement parce que si tu réussi à manier cet arc, imagine quand tu tireras avec ton arc à nouveau… se seras vraiment facile !

Alors que Draël prenait l’arc de bois dans ces mains, Farël lui expliqua le chemin à suivre. Draël devait voler dans un trajet bien délimité tout en tirant des flèches dans les bonnes cibles. Draël s’exécuta, mais la premièrement fois ne donna pas de résultat très convaincant. Après tout, c’est tout à fait normal. Après plusieurs répétitions, Farël changea d’exercice. Cette fois ci, Farël voulait que Draël vise simplement des cibles sans bouger, mais c’était les cibles qui bougeaient. Cette exercice semblait trop facile pour Draël alors, elle ne dura pas longtemps. Il fit faire à Draël trente autres tours de terrain, mais cette fois en volant.

Ensuite, Farël souffla dans un cor pour sonner la fin de la matinée et le début de l’heure du dîner. Bien qu’elle ne durera pas longtemps, cette heures sera un moment de répits pour Draël. Farël était content de manger puisqu’il avait une faim de loup. Il espérait que son élève apprécie ce moment autant que lui puisque cette matinée n’avait été pas très éprouvante jusqu’ici.