La voix de la perdition... [topic seul avec moi-même]

Qu'est-ce qu'elle veut de nous ? Pourquoi nous a t-elle donné tant sans nous demander quoi que se soit en retour ? Nous qui nous nous privons jamais de voler ce qu'elle a donné aux autres, comme si ont avait besoin de ce cadeau offert a nos frère pour notre propre survie... La vie, si chèrement donné, mais nous ne savons jamais quoi en faire, faute de ne pas avoir d'objectif précis, nous convoitons la terre de notre voisin, puis de notre ami et finalement, celle de notre frère. Nous leurs vollons leurs vie pour notre propre plaisir et nous remplissons la terre de sang et de corps meurtris. Certain se donne une raison de vivre, fuyant comme la peste la seul chose qui leur fait peur, la peur elle même.... La peur de devenir fou, la peur d'attraper une maladie, la peur d'avoir trop chaud, trop froid, la peur d'être piétiné par les autres, la peur de l'ennui...

- Ô Gaïa, toi qui donne tant, reprend tout aux impures.... Et met toi le profond dans le c*l !!

Ces paroles résonnèrent au dessus d'une immense rivière parsemmé d'âmes de toute sorte... Des parôles sombre, remplis de mépris et a la fois d'une sagesse mal exprimé... L'être doué d'une forte mentalité, autrefois puissant et sage, a présent perdu dans les profondeurs de son âme, comblé par la folie, le puissant Démoras tente de se remémorer pourquoi il en veut tant a la terre, au monde, a l'univers tout entier, a Gaïa !!! Elle qui donne tant, les gens croient que la vie est un cadeau, mais il s'agit plutôt d'une plaie, de la peste elle même, donne la vie a un groupe de 20 personnes, et bientôt une ville se battira, puis un pays, puis un monde ! La vie se répend comme la peste et enlève les autres forme de vie sur leurs passage. Mais a quoi servent-il mis a part a assurer leur propre survis ? Gaïa leur donne le plus beau cadeau qui puisse exister et eux, comme remerciment, il lui perce le corps avec les mortiers, leurs magie, leur soif de destruction. Mais elle leurs pardonne toujours tout, ce pourquoi elle donne toujours la vie, sachant qu'en fin de compte, ce cadeau n'est rien de plus qu'un fardeau pour l'être vivant. Elle n'est pas stupide, cette masse doué d'intelligence qui porte sa main sur tout.

Mais Démoras le sait bien lui aussi, ses années dans le Katalmach lui a permit de savoir ce que ça fait de vivre sans âme, sans raison de vie et sans avenir. Il sait ce que c'est qu'être une masse sans vie voué pour un seul but, faire souffrir les autres. Oh oui il le sait, car cet façon de ''vivre'' porte un nom, Gaïa. Elle ne vit que pour faire souffrir les autres, savourant ses instant de vangeance qu'elle dépose chez chacun pour finalement les laisser germer jusqu'a mourir a leur tour. Parfois elle s'étonne de voir encore des imbéciles la remercier pour leurs avoir donné la vie et vouloir tout faire pour la sauvegarder, elle qui cherche elle-même la mort. Il faut vouloir mourir pour créer des êtres qui nous détruisent peu a peu... C'est sur cette base que Démoras réfléchissait tout en regardant les âmes passer dans la rivière, enveloppé de sa cape comme seul réconfort, tout comme un enfant se réconforterais avec un ours en peluche. Il admirait chaque petite masse griseâtre qui passait, certain se faisant désigner par un démon haut placé et doté de pouvoir impressionant... Ceux sélectionné avaient le droit de continuer a vivre dans l'ignorance, dans le royaume des vivants. Alors que les autres que l'ont considère comme malchanceuse, vont directement s'enfoncer dans un immense océan de souffrance et de torture, un peu comme le Katalmach. Démoras les voyaient passé, sans la moindre touche de tristesse pour ceux qui subiront le même sort que lui, de toute manière il a dû s'en sortir par ses propres moyens, qu'il en soit de même pour eux.

Spoiler:

Le demi-ange demi-démon décida finalement de s'approcher de la fameuse rivière, savourant les petits son qui s'y échapait par millier, ces petits gémissement faible qui démontre tout leur désespoire et leur souffrance. Puis finalement, comme un chat s'amuse avec un poisson, le puissant lucifer positionna le bout de sa cape juste au dessu de l'immense surface aqueuse, rien que pour voir les âmes se relever lentement et tenter désespérément d'attraper la cape qui se relevait toujours aux derniers moment. Soupirant d'ennui a embêter ces pauvres âme perdu qui n'avaient rien de mieu a faire que d'espérer retourner dans le monde des vivants, d'espérer ignorer une fois de plus que la vie n'est qu'une souffrance immense. Il n'y a qu'en faisant constament souffrir notre corps que l'ont s'apperçoit des vérités de ce monde, ce pourquoi les prêtes fanatique se flagèle et se torture eux-même au nom de dieu. Il n'y a qu'en se lieu que Démoras se sent si calme, si détendu et qu'il n'a pas l'envie de combattre, car il n'y a qu'en se lieu qu'il ressent la vie, qu'il sait qu'il fait toujours partit du monde des vivants, dans l'unique but de détruire et tuer tout ce que Gaïa a créé. C'est auprès de cet immense rivière a la savoureuse arome de gémissement qu'il se souvient qu'un jour il était comme eux, une âme a la perdition qui demandait le secours, mais a présent devenu Katalmach, il ne s'en soucis plus guère. Son sang est de la création même de Gaïa et c'est avec ce sang qu'il mettra un terme a cette chose qui a tant donné, afin de les torturers.